article de presse La Petite, Jacques Brel pour un instant seulement
Cannes Soleil décembre 2012

Avis des lecteurs

 

Chère Marie-Jo

J'ai terminé la lecture de votre ouvrage et, je vous le dis d'emblée : formidable. Je n'ai jamais lu quoi que ce soit sur Brel d'aussi précis, d'aussi touchant, d'aussi "vrai"… Certaines informations que vous mentionnez, je n'en ai eu vent qu'au moment où j'écrivais la Vie en coulisses de Charley Marouani (ami et impresario de Jacques). J'ignore si vous avez reçu mon précédent courriel (auquel j'avais joint une lettre manuscrite de Brel), mais je vous y précisais que c'est Charley qui détient tous les "secrets" et plus encore sur le sujet.

Si jamais vous faites un jour un saut à Paris, j'aurais plaisir à vous y rencontrer. J'ai mille questions à vous poser !

Bien amicalement.

Gilbert Sinoué, écrivain

 

La « petite brèlerie » m'aura tenue toute la matinée sans relâche avec pour seule compagnie 3 - 4 clous de cercueil !!!

Le discernement entre la fiction et la réalité n'est pas facile du tout...

Je ne dirais qu'1 mot, qu'1 seul ! "Bravo" !

Vivement le prochain...

Sylvia

 

Quelle excellente surprise !!!! J’ai avalé La Petite d’une seule traite… Bravo et merci Marie-Jo pour ton roman si gentiment dédicacé (c’est vraiment une surprise). Surpris et ravi de me retrouver ainsi avec Renée en compagnie du grand Jacques ! Tu sais j’avais eu ces mêmes mots « Il pourrait sortir » « Il pourrait m’apercevoir » quand je suis monté au cimetière ce dernier jour de décembre 1976 avant de reprendre le Twin Otter pour Tahiti, pour faire une dernière fois des photos de la tombe de P. Gauguin. Mais, cela ne se pouvait puisque j’entendis le son du synthétiseur…

Serge Lecordier

 

Bonjour Marie-Jo Astic,

Je me suis permis de demander vos coordonnées pour pouvoir vous dire que j'ai beaucoup aimé votre roman.

Vous vous souvenez peut-être que j'avais participé à l'hommage que vous aviez organisé à Cannes en 2008 : J'ai deux mots à vous rire.

Je trouve que votre livre est un prolongement particulièrement réussi à cet hommage. Non seulement vous faites revivre Brel à travers votre vision de sa vie et de son univers mais vous lui donnez, grâce à l'uchronie, quelques années supplémentaires d'existence pour lui permettre de créer le livre qu'il aurait pu écrire et n'a jamais rédigé. J'ai apprécié le dénouement qui permet de boucler la boucle. "La petite" (dont on laisse au lecteur le soin de deviner le prénom !) devient ainsi le titre du roman de Jacques Brel à qui vous avez prêté "pour un instant seulement" une vie imaginaire en lui fournissant l'occasion d'un entretien (pas si imaginaire que cela) avec Bernard Pivot. Bravo !

Cordialement

Patrick Prévost (alias Émile Gaston)

 

J'ai acheté ce livre, très bien écrit. La question se pose, bien sur, de la frontière entre la rencontre réelle et celle fantasmée. Peu importe la réponse d'ailleurs. L'important est que Monsieur Brel sorte encore plus grand dans son humanité.

Rémi Tournier

 

Madame,

Comme promis je vous fais part de mes toutes premières impressions :

Tout d'abord je trouve que "la petite" a tout d'une grande !!

C'est Flaubert qui, parlant d'un de ses meilleurs romans, disait : « Madame Bovary c'est moi » ! Et il est vrai que le roman est l'art de parler de soi sans nous le dire.

La "petite" pourrait en dire tout autant quand elle nous parle si bien de Brel.

Aussi je souhaite qu'elle continue de nous parler d'elle-même dans les mois ou années qui viennent.

Merci de me confier si elle pense poursuivre cette quête... ?

Cordialement

Nevesda / Guy Davesne

 

Chère Marie-Jo,

Je termine tout juste la lecture de la Petite et je lui dois de très bons moments de plaisir avec son Brel ! Elle a tout de même une sacrée pêche et un certain talent pour nous faire revivre avec des mots simples et justes ce grand artiste et cet inconsolable écartelé de l'existence. Grâce à cette < Zazie > de l'univers brélien, j'ai enfin côtoyé Brel d'un peu plus près. Je me suis souvent mêlé en pensée et en image à la complicité de ce couple insolite et pas si fictionnel que ça. Je me suis senti même un peu orphelin à la fin du récit.

J'ai bien aimé aussi les promenades dans Montmartre, dans le midi, dans l'Isère et bien sûr aux Marquises...

J'espère que la Petite n'en restera pas là et qu'elle va maintenant nous < pondre > le roman de sa vie et peut-être que ça pourrait partir du cœur qui est, comme le dit si bien Brel dans une de ses chansons, un grand voyageur.

Je te félicite pour ce travail et crois-moi cela vient du cœur.

Gilles Vauclair 

 

Bonjour, Marie-Jo,

Merci encore pour votre livre, qui a joliment titillé mon esprit par rapport à votre proximité vraie ou romanesque avec l'univers de Brel.

Jean-Marc Mosny

 

Chère Marie-Jo 

Depuis la fin de la lecture de la petite, je me suis replongé dans les chansons de Jacques Brel... Tout d'abord merci à la petite et donc à toi de me donner l'envie de redécouvrir les inédits de Brel, ou les rejetés de son dernier opus, et cette superbe chanson Sans exigences. Comment ai-je pu délaisser un tel chef-d'œuvre. Quelle putain de secousse comme dirait la petite... avec une musique d'orgue et clavecin en fond, on pourrait presque imaginer cette chanson comme un motet et même l'écouter dans une église. Pour que Brel arrive à dire : J'en arrive a prier Dieu... mais on sait bien qu'il est trop vieux, c'est déjà un pied dans la cathédrale... C'est sûr il aurait dû l'inclure dans le dernier album. Puis il y a aussi cet hymne sublime La Cathédrale... J'aime aussi Avec élégance

Dans le CD que j’écoute, ils ont mis dans l'ordre les chansons Sans exigences, Les Marquises et Orly. Je trouve là une parfaite synthèse de l'univers brélien. Il y a de quoi faire un film de ce pot-pourri qui parle de nos vies, de nos amours, de nos désespoirs, de nos solitudes, de nos peurs, de nos voyages, de nos besoins et bien sûr le bouquet final, la mort.

Gilles

 

Chère madame,

Ma fille -Laurence Dionigi que vous avez rencontrée à Antibes au Fémina 'auteures- m'a offert pour mon récent anniversaire  (66 ans) votre livre que j'ai dévoré d'un trait.

Comme vous dites à ma fille dans votre courriel de m'inviter à vous donner mon avis en toute franchise car « tricher n'est pas de mise », le voici donc :

En vous lisant, j'ai senti combien de Brel vous aviez le cœur plein et que cette « Petite » sans prénom, c'est sans doute vous. J'aurais aimé que ce soit moi qui ai tant aimé cet artisan de la chanson, cet homme généreux, poète, tendre et humain qui a bouleversé ma jeunesse par la fougue de sa voix, la force de ses textes, la sensibilité de cet écorché vif auquel je me suis identifiée jeune et que j'aime encore aujourd'hui avec une grande tendresse, comme un ami sincère  de toujours.

La fiction et la réalité s'entremêlent habilement et on se laisse emporter par votre roman dont on aimerait qu'il ne finisse jamais pour prolonger  à ses côtés la vie de Brel, infiniment.

J'ai beaucoup aimé l'originalité de l'angle avec lequel vous avez abordé Brel, et cette « Petite » qui étonne au départ et qui paraît ensuite naturelle, étincelle lumineuse, vivifiante pour le Grand Jacques  dont la mort prochaine l'attend derrière la porte !

J'ai bien sûr, ses œuvres complètes, les textes de toutes ses chansons, ai lu des biographies, vu ses films et regrette encore de n'avoir jamais pu le voir en concert ou dans L'Homme de la Mancha.

Ma jeunesse musicale, ce sont dans l'ordre les 3 B : Brel, Brassens, Barbara qui m'ont fait vibrer, et aimé encore davantage la langue française et la poésie.

J'ai inculqué Brel à mes enfants et chante aujourd'hui  ses chansons à mes petits-enfants et m'insurge quand j'entends des pseudo chanteurs vouloir interpréter ses textes, comme un mauvais élève ânonner ses leçons !

Je vous félicite donc pour ce roman qui a remué en moi tant de souvenirs qui ont ensoleillé ma jeunesse et permis de « voir en chaque chose, une chose jolie ».

Bien à vous et merci encore pour ce moment de lecture tonique et émouvant à la fois.

Jacqueline Dionigi

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Roman... ? ! Mais aussi souvenirs et rêves, conte et poème, documentaire et autofiction... Une alchimie "imaginaire + réalité" fonctionnant à merveille et faisant de La Petite, Jacques BREL pour un instant seulement un de ceux - parmi les nombreux écrits en Hommage à Jacques BREL - permettant de saisir au mieux la richesse et la complexité du personnage hors norme et de l'extraordinaire auteur-compositeur-interprète. Et un ouvrage et une écriture TRES agréables...
Bernard BELIN,
auteur de : Jacques BREL, T'as voulu voir VESOUL... sept. 2013

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Bonjour Marie-Jo,
Juste un mot ce soir. D’abord pour m’excuser du retard à vous remercier de m’avoir spontanément envoyé votre livre, dont je n’avais (hélas) pas entendu parler. Outre de multiples activités et déplacements, j’avoue avoir mis de côté, après la sortie du mien, bien d’autres ouvrages « à lire dès que possible », le temps que ça se « décante » un peu.

Bref, j’ai commencé à le lire hier soir, j’ai dû m’arrêter vers la page 120 , impatient de découvrir la suite, mais je ne résiste pas plus longtemps au plaisir de vous dire combien je suis sous le charme. Et aussi de me retrouver pareillement en pays de connaissance, avec l’Espagne et Paco Ibañez en sus…

Dès que je l’ai terminé, je reviens vers vous.
Cordialement

Fred Hidalgo

 

Bonjour Marie-Jo,

Je trouve un moment pour vous redire le plaisir et même plus que j’ai eu à lire votre ouvrage. Très belle idée que de redonner vie ainsi à notre Grand Jacques en lui suggérant le moyen d’échapper à ce que l’on sait !

Quelle passion, quel amour il a fallu aussi pour entreprendre un tel travail, car si j’ai bien compris, pour ce faire vous avez commencé par compiler toutes ses déclarations (?!), de façon à en remettre certaines en situation dans votre récit. Bravo !

Et comme il s’agit d’un « roman », bien malin parmi ceux et celles qui ne connaissent pas la vie de Jacques sur le bout des doigts, de démêler le vrai du « faux » (du moins du « complémentaire »… car, oui, cela aurait pu se

produire) !
J’espère avoir l’occasion de vous rencontrer pour parler de qui vous savez et du reste, de ce « principe d’imprudence » que seuls les « morts en sursis » sont capables de mettre en pratique. Belle aventure encore, j’imagine, que ce séjour sur un porte-containers... Il me semble en effet qu’on se connaît déjà sans s’être rencontrés. En tout cas, on s’est reconnus (vous en m’envoyant votre livre, moi en lisant vos écrits) !

A bientôt de vos nouvelles
Amicalement

Fred